Circonscription de Noyon

DSDEN de l’Oise

Sommaire

Pourquoi construire des progressions spiralaires en langues vivantes ? Les progressions spiralaires constituent un guide pour l’enseignant qui va pouvoir revenir de façon cyclique sur une compétence en l’étoffant à chaque fois d’exemples ou de contextes nouveaux qui enrichiront et complexifieront la notion abordée. Comme tous les enseignants le savent, la répétition et les rétroactions jouent un rôle important dans le processus d’acquisition de compétences. Cependant en répétant d’année en année des notions sans les complexifier, on arrive au résultat inverse de celui qui est visé. En effet les élèves deviennent passifs, se détournent de la notion et adoptent une attitude passive et des réponses stéréotypées. Pour éviter cet écueil, il est nécessaire de complexifier les tâches d’apprentissage d’année en année, ce qui a le mérite d’une part de favoriser les rétroactions, et d’autre part de relancer l’intérêt des élèves et les plaçant face à des situations inédites. Les programmations spiralaires répondent donc à une logique didactique. Elles permettent d’organiser une suite graduelle de savoirs et de savoir-faire, selon un ordre progressif de difficultés. L’exemple donné présente différentes tâches de communication qui permettent, année après année, de travailler les capacités en favorisant l’acquisition de lexique et de structures nouvelles. Ces programmations spiralaires, proposées pour l’anglais, sont transposables à toute langue enseignée.

Programmation pour le cycle 2 ANGLAIS

Pourquoi construire des progressions spiralaires en langues vivantes ?

Les progressions spiralaires constituent un guide pour l’enseignant qui va pouvoir revenir de façon cyclique sur une compétence en l’étoffant à chaque fois d’exemples ou de contextes nouveaux qui enrichiront et complexifieront la notion abordée.

Comme tous les enseignants le savent, la répétition et les rétroactions jouent un rôle important dans le processus d’acquisition de compétences. Cependant en répétant d’année en année des notions sans les complexifier, on arrive au résultat inverse de celui qui est visé. En effet les élèves deviennent passifs, se détournent de la notion et adoptent une attitude passive et des réponses stéréotypées. Pour éviter cet écueil, il est nécessaire de complexifier les tâches d’apprentissage d’année en année, ce qui a le mérite d’une part de favoriser les rétroactions, et d’autre part de relancer l’intérêt des élèves et les plaçant face à des situations inédites. Les programmations spiralaires répondent donc à une logique didactique. Elles permettent d’organiser une suite graduelle de savoirs et de savoir-faire, selon un ordre progressif de difficultés. L’exemple donné présente différentes tâches de communication qui permettent, année après année, de travailler les capacités en favorisant l’acquisition de lexique et de structures nouvelles. Ces programmations spiralaires, proposées pour l’anglais, sont transposables à toute langue enseignée.

Mise à jour : 13 octobre 2017